Olivier Paré, producteur de la culture fourragère, raconte son histoire.

Monsieur Olivier Paré, âgé de 55 ans, réside à Dédougou. Il a initié sa passion pour la culture de fourrage en l’an de grâce 2011. Sa persévérance et son acharnement au travail l’ont propulsé vers le succès, malgré les défis de taille qui se sont dressés sur son chemin. En cette année 2023, il a bénéficié d’un précieux soutien du Projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel phase 2 Burkina Faso (PRAPS 2-BF).
Monsieur Paré s’est spécialisé dans la culture de diverses cultures fourragères, notamment le mucuna fourrager et l’andropogon gayanus. Aujourd’hui, Olivier Paré est devenu un modèle pour sa communauté. Il a créé des emplois au niveau local, amélioré la qualité de vie des éleveurs et renforcé la sécurité alimentaire pour le bétail de la localité. Son parcours est un exemple inspirant pour ceux qui aspirent à s’investir dans la production de fourrage




« Je tiens à exprimer ma profonde gratitude envers le Projet régional d’appui au pastoralisme au Sahel phase 2 Burkina Faso (PRAPS2-BF), qui m’a permis d’acquérir des compétences pratiques. Je tiens à citer les mots de Kaliguétou, qui déclara : ‘Désormais, je sais mettre mes mains à l’œuvre. »

Kali est une jeune femme qui réside désormais à Bama, une localité située à 25 kilomètres de Bobo-Dioulasso. Malgré elle, elle a dû quitter son village autrefois paisible en raison de l’insécurité. Un soir, elle apprit que le PRAPS2-BF lançait un appel en vue de soutenir la formation des jeunes et des femmes pasteurs et agropasteurs, dans divers métiers au sein des centres de formation et auprès de maîtres artisans. Elle reçut de l’aide pour la préparation de ses dossiers, qu’elle soumit ensuite à l’appréciation d’un comité régional de sélection. Kali fut sélectionnée parmi des milliers de candidats et choisit d’intégrer le site de l’Union des groupements des étuveuses de riz de Bama (UGER-B) pour apprendre l’ensemble du processus d’étuvage du riz ainsi que les méthodes de conservation. Après quelques jours de formation intensive, Kali se sentit déjà apte à exercer ce métier et aspira à devenir entrepreneure. Le sourire a retrouvé sa place sur son visage, et l’espoir a resurgi grâce au PRAPS2-BF. Aujourd’hui, elle souhaite exprimer sa gratitude envers le PRAPS2-BF en un mot : ‘Merci.’

L’histoire de Kali se reflète dans celle de plusieurs centaines de jeunes et de femmes qui ont bénéficié du soutien du PRAPS2-BF et qui suivent actuellement des formations dans divers métiers à travers onze régions du Burkina Faso. Ils sont au nombre de 660, comprenant des déplacés internes, des personnes défavorisées, principalement des jeunes et des femmes pleins d’initiatives, qui avaient besoin de soutien pour entreprendre dans divers domaines de production. Grâce au PRAPS2-BF, ils ont été admis pour suivre des formations en tissage de pagne, en agriculture, en aviculture, en saponification, en production et conservation du fourrage, en culture maraîchère, en étuvage de riz, en coiffure, en transformation agro-alimentaire, et en transformation du lait.

Dans deux mois, les apprenants actuels auront achevé leur formation, et des kits d’installation sont déjà prévus pour les futurs entrepreneurs. Le PRAPS2-BF a pris cette initiative pour renforcer la résilience des pasteurs et agropasteurs, afin qu’ils puissent faire face à d’éventuels chocs ou catastrophes qui pourraient impacter leurs moyens de production et de subsistance.

D’hier, en tant que déplacés internes, à aujourd’hui, en tant que résidents de nombreux sites de formation et futurs entrepreneurs, les apprenants sont conscients de leur responsabilité dans la réalisation du succès de cette initiative du projet. À chaque étape de la visite de la délégation conjointe du PRAPS2-BF et de la DGFOMR, ils ont exprimé leur reconnaissance et leur gratitude envers le projet. »




Adjara Sanogo, une success story grâce au PRAPS-1-Mali : Comment un investissement en appelle un autre

Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS 2-MALI) a financé 540 Activités Génératrices de Revenus (AGR) en 2023, destinées aux femmes et jeunes pasteurs et agropasteurs âgés de 18 à 40 ans dans les régions de Ségou, Sikasso et Koulikoro. En 2024, le projet prévoit de financer 750 AGR dans les régions de San, Koutiala, Bougouni et Dioïla, avec pour objectif global d’atteindre 2000 AGR d’ici 2027. Cette initiative fait suite à la première phase du PRAPS de 2016 à 2021, qui a financé 13 800 AGR et commence à montrer des résultats positifs, comme le cas d’Adjara Sanogo. Bénéficiaire de la Phase 1 du projet, Adjara a connu un succès remarquable, passant d’un soutien initial de 3 béliers en 2018 à la gestion d’un enclos de 6 moutons et 5 vaches laitières, en plus d’autres réalisations au sein de son ménage.
Adjara Sanogo, une femme de 40 ans mariée et mère de sept enfants, partage son parcours. Vivant avec son mari, leurs enfants, la mère et le frère de son mari dans une maison en banco, elle n’a pas eu la chance d’aller à l’école. Cependant, elle avait toujours rêvé de mener une activité qui lui permettrait de subvenir à ses besoins et de ne pas dépendre constamment de son mari, qui lui-même avait des moyens limités pour couvrir les dépenses familiales.
En 2018, après avoir essayé le maraîchage et le petit commerce, Adjara a décidé de se lancer dans l’élevage. Elle a commencé en achetant une brebis dans l’objectif de la reproduire. Heureusement, la même année, le programme de financement d’activités génératrices de revenus (AGR) du PRAPS-Mali a été lancé. Elle a soumis sa demande de financement pour son projet d’embouche ovine et a été sélectionnée. Avec les fonds accordés par le PRAPS-Mali, elle a acheté trois béliers et le matériel nécessaire, y compris l’abri et les soins pour les animaux. Après six mois, elle a vendu les trois béliers pour 300 mille francs CFA. Avec cet argent, elle a acheté un bœuf maigre à 150 mille et a utilisé le reste pour répondre aux besoins familiaux.
Elle a ensuite continué avec l’embouche ovine, a vendu le bœuf bien engraissé pour 300 mille francs CFA, puis a investi dans d’autres cycles d’embouche de petits ruminants et une vache pour la reproduction et la production laitière. Sa réussite est devenue célèbre dans son village, où certains l’encouragent tandis que d’autres l’envient.
En 2023, la DRPIA de Sikasso, en charge de la coordination du PRAPS-Mali dans la région de Sikasso, l’a mise en contact avec le Projet de Développement Durable des Exploitations Pastorales dans le Sahel-Mali (PDDEPS) – Mali, qui a également un programme AGR. Avec l’aide du PRAPS-Mali, elle a obtenu du financement pour 4 vaches laitières de la part du PDDEPS.
Aujourd’hui, grâce à ces soutiens, Adjara diversifie ses activités, allant de l’embouche ovine à l’élevage reproductif et à la production laitière, en passant par la vente de bétail et de lait. Les revenus de ses activités contribuent activement aux dépenses familiales, notamment les frais scolaires, les vêtements et les soins médicaux de ses enfants. Elle vend également des moutons pendant les fêtes religieuses, ce qui lui permet de faire face aux dépenses festives de sa famille.

Adjara compte désormais 5 vaches laitières et 6 moutons, témoignant du succès de son entreprise. Son histoire illustre comment le financement des AGR, intégré à la composante 4 du projet PRAPS-2-Mali, contribue à l’autonomisation économique des femmes et des jeunes, conformément aux objectifs du Ministère de l’Élevage et de la Pêche et de ses partenaires tels que la Banque mondiale, le CILSS, la CEDEAO et l’UEMOA, visant à améliorer l’inclusion sociale et économique des femmes et des jeunes.

« En décembre 2019, grâce au financement du PRAPS-Mali, j’ai investi dans l’achat de trois béliers que j’ai ensuite nourris et revendus. Avec une partie des bénéfices, j’ai acquis un bœuf à un prix avantageux, bien qu’il fût assez maigre à l’origine. Mon objectif est maintenant de prendre soin de lui en lui fournissant une alimentation équilibrée, des soins réguliers et un suivi médical approprié. Je suis convaincue qu’avec ces efforts, il prendra du poids au cours des prochains mois et deviendra une source de profits significatifs, comme l’a mentionné Adjara ».
En 2019, j’ai commencé mon travail en tant qu’agricultrice avec 3 béliers grâce à l’aide du PRAPS-Mali. Maintenant, je possède 5 vaches laitières et 6 moutons. Grâce à l’argent que je gagne de mon travail, je contribue aux dépenses de ma famille. Je soutiens mon mari, en particulier pour les frais de scolarité de nos enfants, leurs vêtements et leurs soins médicaux quand ils sont malades. C’est ce qu’a dit Adjara Sanogo en août 2023.




Le PRAPS 2-BF appuie 34 producteurs de fourrage cultivé

Dans le cadre d’une cérémonie solennelle qui s’est tenue le vendredi 4 août 2023, le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel Phase 2 Burkina Faso, plus communément désigné sous l’acronyme PRAPS 2-BF, a apporté son soutien financier à pas moins de 34 producteurs de fourrage cultivé. Cette initiative a réuni 33 agropasteurs ainsi que l’École Nationale de l’Élevage et de la Santé Animale, témoignant ainsi de l’engagement indéfectible du PRAPS 2-BF en faveur de la production de fourrage cultivé au Burkina Faso.
La somme totale mobilisée à cet effet s’élève à une impressionnante enveloppe de 60 millions de Francs CFA, témoignant de la volonté affirmée de cette entité de promouvoir et de renforcer le secteur agropastoral dans cette région du Sahel. À cette occasion, des chèques d’un montant oscillant entre 500 000 et 12 500 000 Francs CFA ont été remis aux bénéficiaires, symbolisant l’appui financier substantiel destiné à soutenir la production du fourrage cultivé.
Parmi les heureux récipiendaires de ces précieux sésames, se sont distingués des figures notoires telles qu’Aissata Barry, Rasmata Bounkoungou et Charles Lompo, tous animés d’une détermination sans faille à intensifier la production du fourrage dans leurs zones respectives. Cette cérémonie empreinte de solennité a été présidée par le distingué Coordonnateur du PRAPS 2-BF, le Dr Souleymane Pindé.
Le Coordonnateur du PRAPS-2, Dr Souleymane Pindé a souligné l’importance cruciale du fourrage cultivé dans le contexte de l’élevage au Burkina Faso. Il a mis en exergue le rôle essentiel de cette ressource en tant que source régulière et stable de nourriture pour les troupeaux tout au long de l’année. Cette source permet de pallier les variations saisonnières et les périodes de sécheresse, garantissant ainsi une alimentation adéquate aux animaux. En effet, dans de nombreuses régions du Burkina Faso, les pâturages naturels se font rares et subissent une pression excessive due à la croissance démographique et aux effets des changements climatiques. Ainsi, le fourrage cultivé se présente comme une ressource incontournable pour prévenir la surcharge des pâturages et maintenir leur qualité.

Le Coordonnateur du PRAPS 2-BF, a également souligné que la production et la commercialisation du fourrage ouvrent de nouvelles perspectives économiques pour les éleveurs et les agropasteurs. En diversifiant leurs activités, ils peuvent accroître leurs revenus et réduire leur dépendance aux seules activités d’élevage.

Le PRAPS-2 BF, conscient de la rareté du fourrage à certaines périodes de l’année et de l’inaccessibilité des aliments pour le bétail, s’est engagé à élaborer des stratégies et des politiques cohérentes visant à améliorer la disponibilité des ressources alimentaires pour le bétail. Cette initiative d’appui aux producteurs a été accueillie favorablement par les bénéficiaires, qui ont exprimé leur satisfaction et leur reconnaissance envers le PRAPS 2-BF et ses partenaires.

Les producteurs sélectionnés proviennent de diverses régions du Burkina Faso, choisis en raison de leur engagement en faveur de l’innovation agricole et de l’amélioration des pratiques de production fourragère. Cette initiative prometteuse vise à renforcer la production locale de fourrage cultivé, apportant ainsi un nouvel élan au secteur agropastoral du Burkina Faso, pour le plus grand bénéfice de l’élevage et du pastoralisme dans la région.




2000 Km de Ressources Naturelles Protégées: Des Pare-feu Manuels Impressionnants

Dans un contexte où la pluviométrie a été favorable, les pâturages abondants et une main-d’œuvre disponible au sein des Zones et des communautés pastorales ciblées, le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel pour la Mauritanie (PRAPS-2-MR) a brillamment mené à bien un Programme de pares-feux manuels sur 2000 km linéaires. Ce programme, mis en œuvre dans le cadre de la Composante 2 (Gestion durable des paysages et amélioration de la gouvernance) du Projet, avait pour objectif d’améliorer l’accès des pasteurs et agropasteurs aux ressources et espaces pastoraux, ainsi que de résoudre les problèmes liés à l’alimentation animale en sécurisant l’accès aux ressources naturelles et en favorisant la gestion durable des paysages et des infrastructures d’accès à l’eau.

Selon Mohamed Lemine Ould Sayda, représentant de la communauté pastorale du village de Qotob, situé dans la commune de Hassi Ehel Ahmed Bichne (Wilaya du Hodh El Gharbi), les travaux de réalisation du pare-feux, d’une longueur de 8 km sur 8 mètres de largeur, ont été entièrement effectués par des hommes en seulement une dizaine de jours. Cette initiative s’est également étendue à quatre autres régions (Hodh El Chargui, Assaba, Brakna et Guidimakha) de la zone d’intervention du Projet. Les pare-feux réalisés dans la wilaya du Guidimakha ont permis d’efficacement prévenir les feux de brousse, sans qu’aucun foyer de feu ne soit déclaré. De plus, ces travaux ont bénéficié aux communautés locales en leur offrant des revenus substantiels dans le cadre de travaux communautaires à « Haute Intensité de Main d’œuvre » (HIMO).

Dans la wilaya du Guidimakha, le pare-feu de la localité M’Beydia Sakhe, long de 20 km et large de 9 mètres, a été réalisé par une vingtaine de membres de l’Association de gestion locale collective des ressources naturelles (AGLC), qui compte plus de 1500 membres répartis dans quatre villages de la zone. Abdoullahi Sidibé, l’Adjoint du Président de l’AGLC, se réjouit des résultats obtenus, soulignant que la réalisation de ce pare-feu a permis de préserver l’environnement naturel contre les feux de brousse tout en générant des revenus pour les habitants de la localité. Cette initiative a également contribué à sensibiliser les populations à l’importance de préserver leur environnement.

Tout au long de la période de réalisation des pares-feux, le PRAPS Mauritanie et les Délégations régionales du Ministère de l’Environnement et du Développement durable ont effectué des missions régulières de contrôle et de suivi. À l’issue de ces missions, l’aide-comptable du Projet a procédé aux paiements en espèces pour les travaux effectués, dans la limite de 70 000 MRU (environ 2000 dollars USD), uniquement pour les représentants des communautés bénéficiaires n’ayant pas de comptes bancaires.

Grâce à ces initiatives et au travail acharné des communautés locales, le Programme de pares-feux manuels du PRAPS-2 Mauritanie a démontré son efficacité dans la prévention des feux de brousse et dans la génération de revenus pour les populations locales. Ce projet joue un rôle crucial dans la préservation de l’environnement et dans l’amélioration des conditions de vie des pasteurs et agropasteurs de la région.




Entretiens techniques 04




Entretiens techniques du PRAPS (ETP)

Entretiens techniques du PRAPS (ETP)

Ces ETP ont été organisés autour de différentes thématiques :

ETP-1 : La gestion durable des parcours dans le Sahel

  • Lieu : Dakar au Sénégal
  • Date : du 15 au 17 mars 2016
  • Objectifs :

    • outiller les acteurs du PRAPS dans le contexte de la mise en œuvre du projet « comment faire ? » ;
    • partager les connaissances et les expériences en vue d’une gestion durable des parcours dans le Sahel ;
    • favoriser l’échange d’informations sur : les stratégies, la planification, la mise en œuvre, et le Suivi-Evaluation des opérations du PRAPS ;
    • valoriser les savoirs et les connaissances tirés de l’expérience sur les terrains dans la région en lien avec les grands défis du Sahel.

  • Sous-thématiques :

    • sous-thématique 1 : Gérer les Ressources Naturelles
    • sous-thématique 2 : Partager les accès et les usages
    • sous-thématique 3 : Orienter les pratiques et la gouvernance

  • En savoir plus

ETP-2 : Prévention et gestion des crises pastorales

  • Lieu : Niamey au Niger
  • Date : du 03 au 05 juillet 2017
  • Objectifs :

    • Accélérer l’adoption de meilleures pratiques en matière de prévention, détection, alerte et réponses aux crises pastorales dans les 6 pays de mise en œuvre du PRAPS

  • Sous-thématiques :

    • Sous-thématique 1 : Prévenir les prochaines crises pastorales
    • Sous-thématique 2 : Préparer les prochaines crises pastorales
    • Sous-thématique 3 : Suivre et alerter sur les situations pastorales critiques
    • Sous-thématique 4 : Répondre plus efficacement aux crises pastorales

  • En savoir plus

ETP-3 : Amélioration de la santé animale en zone sahélienne

  • Lieu : Ouagadougou au Burkina Faso
  • Date : du 15 au 17 octobre 2018
  • Objectifs :

    • Partager les analyses et les expériences liées aux défis, contraintes et perspectives pour une meilleure couverture sanitaire du cheptel sahélien.

  • Sous-thématiques :

    • Sous-thématique 1 : Améliorer la performance des services vétérinaires dans le contexte sahélien
    • Sous-thématique 2 : Restaurer la confiance et l’implication des éleveurs et des acteurs des filières dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques, programmes et projets d’amélioration de la santé animale
    • Sous-thématique 3 : Développer avec succès des programmes régionaux ou sous régionaux de prophylaxies contre les principales pathologies animales de la sous-région

  • En savoir plus

ETP-4 : Echanges des produits d’élevages

  • Lieu : Ouagadougou au Burkina Faso
  • Date : du 15 au 17 octobre 2018
  • Objectifs :

    • Partager les analyses et les expériences liées aux défis, contraintes et perspectives pour une meilleure couverture sanitaire du cheptel sahélien.

  • Sous-thématiques :

    • Sous-thématique 1 : Améliorer la performance des services vétérinaires dans le contexte sahélien
    • Sous-thématique 2 : Restaurer la confiance et l’implication des éleveurs et des acteurs des filières dans l’élaboration et la mise en œuvre des politiques, programmes et projets d’amélioration de la santé animale
    • Sous-thématique 3 : Développer avec succès des programmes régionaux ou sous régionaux de prophylaxies contre les principales pathologies animales de la sous-région

  • En savoir plus




Entretiens techniques 03




Entretiens techniques 02




Entretiens techniques 01