ATELIER DE FORMATION EN COMMUNICATION EN CAS DE CRISE PASTORALES ET EN PERIODE DE CONFLITS

PRAPS imag

En décembre 2017, la Réunion du Réseau de Prévention des Crises Alimentaires  (RPCA) a annoncé des poches de crises alimentaires avec pour corollaire, des crises pastorales. Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) pour permettre à ses acteurs de répondre façon adéquate aux besoins en information et communication, organise du 12 au 16 février 2018  à Bamako, au Mali  une formation sur la  » Communication orientée sur la  gestion des crises pastorale et des conflits » Ladite formation vise  à renforcer les capacités  des Spécialistes en Communication des Unités Nationales de Coordination des  six (6) PRAPS pays, des Directeurs de Communication et de Presse ministérielles des pays des zones d’intervention du Projet, des  Organisations de producteurs (APESS, RBM)  et des partenaires impliqués dans la mise en oeuvre du PRAPS. Au cours de la semaine, les participants échangeront autour de cas pratiques, d’expériences vécues par les pays et les Organisations de producteurs en vue d’accompagner les bénéficiaires et les parties prenantes du Projet. Il s’agit notamment pour les équipes de comprendre:

  • les liens entre la communication pour le changement de comportement et la gestion des crises pastorales
  • les dispositifs de communication, d’alerte et de prévention: l’information, la sensibilisation et la communication pour le changement de comportement
  • les expériences du Niger sur la  gestion des crises pastorales
  • les dimensions –étapes et interventions en cas de conflits et crises pastorales
  • les circuits de gestion et de partage d’informations en situation d’urgence
  • les expérience de l’APESS et du RBM en matière de plaidoyer en cas de  crises pastorales et de conflit
  • la gestion de connaissances et la capitalisation d’expérience post-crisespastorales et conflits



Dialogue sur la transhumance transfrontalière, Lomé, au Togo, le 27 octobre 2016

Dialogue sur la transhumance transfrontalière, Lomé, au Togo, le  27 octobre 2016 : L’Unité Régionale de Coordination du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme dans le Sahel PRAPS-CILSS a commandité une étude sur ‘’ l’Etat des lieux des cadres de concertation sur la transhumance transfrontalière dans les 6 pays du projet’’. La restitution de celle-ci est intervenue le 27 octobre 2016 à Lomé, au Togo. Elle a été suivie 72 heures durant de la rencontre ministérielle sur la transhumance frontalière apaisée entre le Sahel et les pays côtiers




Formation des équipes PRAPS en Communication, Ouagadougou le 5 décembre

Formation des équipes PRAPS en Communication, Ouagadougou le 5 décembre : L’atteinte des objectifs assignés au PRAPS implique la mise en œuvre de stratégies de communication interne et externe performantes, un positionnement adéquat dans le domaine du pastoralisme, et la promotion d’une forte adhésion des populations bénéficiaires, des partenaires, de l’ensemble des parties prenantes et du grand public. La communication étant transversale et vu son importance pour l’atteinte des objectifs du Projet, il a été organisé le 5 décembre 2016, à Ouagadougou, un atelier de formation en Communication, au profit des Coordonnateurs nationaux des PRAPS-pays et de leurs équipes.




Le PRAPS à la 1ère édition du SIBVAO à Abidjan

Le PRAPS à la 1ère édition du SIBVAO à Abidjan :  «Compétitivité et développement durable de la filière Bétail-viande de l’Afrique de l’Ouest», tel est le thème retenu pour la première édition du  Salon International bétail-viande de l’Afrique de l’Ouest (SIBVAO) qui s’est tenue du 31 août au 4 septembre 2016 à Abidjan (RCI) sous la présidence de Son Excellence M. Daniel Kablan Duncan, Premier Ministre, Ministre de l’Economie, des Finances et du Budget de la République de Côte d’Ivoire.




Lancement du Master professionnel en Pastoralisme, Niamey 20 février 2017




Situation pastorale au 30 Septembre 2016 : Pâturages et points d’eau

La situation pastorale est globalement bonne voire excellente dans la partie pastorale des pays du front sahélien. La situation est caractérisée par une bonne disponibilité du fourrage vert (Figure1)et d’eau pour l’abreuvement du bétail (figure2). En effet, la poursuite des précipitations régulières et abondantes enregistrées dans certaines zones pendant le mois de septembre a favorisé une nette augmentation de la productivité de la végétation et un bon remplissage des mares. Toutefois, des poches de faible productivité de biomasse fourragère ont été observées par endroits en Mauritanie, au Burkina, au Mali, au Niger et au Tchad. Dans ces zones que nous pouvons considérées à risque, les conditions agro-météorologiques telles que l’installation tardive de la végétation et les pauses pluviométriques n’ont pas été favorables à la croissance et au développement de la végétation.

La comparaison des rendements fourragers de l’année 2016 par rapport à 2015 indique une situation supérieure de 25 à 50 % et équivalente sur la façade atlantique et sur la moitié est du sahel. Au centre du sahel, notamment au Mali, au Burkina et au Niger la situation est moins bonne(figure3). La comparaison de la productivité par hectare par rapport aux 5 dernières années indique une situation en baisse surtout dans le sahel central et l’extrême Nord Est du Tchad (figure4).




Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) au Niger.

Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) est parti de la Déclaration de Nouakchott sur  le Pastoralisme adoptée le 29 octobre 2013, avec pour objectif global de « sécuriser les modes d’existence  et les moyens de production des populations pastorales et accroître le produit brut des activités d’élevage  d’au moins 30 pourcent dans les six pays du Sahel au cours des cinq prochaines années, en vue d’augmenter  significativement les revenus des pasteurs sous un horizon de 5 à 10 ans ».

Le PRAPS est un appui que la Banque Mondiale accorde à six pays sahélo-sahariens (Burkina Faso, Mali,  Niger, Mauritanie, Sénégal et Tchad) en vue d’améliorer la résilience des moyens de subsistance des sociétés pastorales dans leurs zones frontalières exposées à la sécheresse. Son objectif de développement est « Améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs  et agropasteurs dans des zones transfrontalières sélectionnées et le long des axes de transhumance dans les  six pays Sahéliens, et améliorer la capacité de ces pays à répondre à temps et de façon efficace en cas de  crises pastorales ou d’urgences ». Sa stratégie est orientée vers la mise en place d’une alliance solide  pour soutenir le pastoralisme en rassemblant l’expertise et les ressources de l’ensemble des acteurs,  conformément aux priorités du pays et en intégrant la dimension des dynamiques régionales d’actions futures.

Le projet a été développé sous la coordination opérationnelle du Secrétariat Exécutif du du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS), en étroite collaboration avec les six pays bénéficiaires. Le projet sera exécuté à travers les composantes suivantes :

  • (i) Renforcer les services de production pour la santé animale ;
  • (ii) Améliorer la gestion des ressources naturelles ;
  • (iii) Faciliter l’accès aux marchés ;
  • (iv) Améliorer la gestion des crises pastorales ;
  • (v) Gestion/administration du projet et communication

Des programmes nationaux et transfrontaliers seront ainsi formulés et mis en œuvre afin de sécuriser les activités pastorales, d’accroître le poids économique de l’élevage et d’augmenter durablement les revenus des communautés pastorales et agro-pastorales. Les types d’activités et de travaux qui seront réalisés par le PRAPS ont été convenus pendant la phase de préparation, sans pour ceci déterminer les activités spécifiques à chaque pays, ni les sites devant les accueillir.

– Document 1 : Note d’information sur le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) au Niger / Mars 2015; RECA_PRAPS_Note1_Presentation_Mars2015

– Document 2 : Rapport final du Cadre politique de réinstallation des populations dans le cadre du projet régional d’appui au pastoralisme au sahel (CPRP-PRAPS) / Fatoumata DIALLO – Mars 2015
Les si es exacts de réalisations des investissements ne sont pas connus et les activités à réaliser ne sont pas décrites mais leur mise en œuvre peu produire des effets sociaux négatifs sur les conditions de vie de certaines populations : déplacement physique, modification ou entrave à l’utilisation de ressource naturelle, pertes de patrimoine, de moyen de production, de sources de revenus, etc. Ces impacts pourraient  concerner des catégories de personnes : agriculteurs, éleveurs, utilisateurs des sous-produits forestiers, pécheurs, …). Le Cadre de Politique de Réinstallation des Populations (CPRP) est un instrument  d’atténuation des effets des activités du projet. CGES_PRAPS_Rapport_Regional_-_FINAL_FINAL_18_mars_2015_

– Document 3 : Rapport final du Cadre de gestion environnementale et sociale (CGES) / Mbaye Mbengue FAYE, Fatoumata DIALLO, Mouslim MAIGA – Février 2015
Le CGES comprend une analyse du cadre institutionnel et juridique environnemental au niveau des pays dans  lesquels le PRAPS s’exécutera ainsi qu’une présentation de la situation biophysique et socioéconomique. S’agissant des ressources naturelles, du milieu humain et des activités socioéconomiques, le CGES identifie  les potentialités existantes au plan environnemental et social, en termes de ressources en sol, eau,  biodiversité, mais aussi d’environnement urbain et rural dans les zones ciblées par le PRAPS. Il donne  également une analyse régionale de l’état des ressources naturelles et des enjeux environnementaux et  socioéconomiques potentiels dans les zones du projet, notamment en relation avec le développement des  activités pastorales préconisées par le projet.




PRAPS Sénégal

Objectif général : Améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs et agro-pasteurs dans des zones transfrontalières sélectionnées et le long des axes de transhumance dans les six pays Sahéliens, et améliorer la capacité de ces pays à répondre à temps et de façon efficace en cas de crises pastorales ou d’urgences.

Contexte du PRAPS :
Fait partie de l’Initiative Sahel lancée par la Banque mondiale (BM)
En droite ligne de la DÉCLARATION DE NOUAKCHOTT SUR LE PASTORALISME (29/10/2013) qui donne l’architecture du PRAPS (dispositions institutionnelles et 4 composantes techniques)
Projet régional pour 6 pays Sahéliens (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad et le Sénégal)
Coordination régionale: CILSS
Coordination nationale: PRAPS-SN
6 ans (2015-2021): 30 MUSD soient 15 Milliards de FCFA dont 10 MUSD de fonds IDA National et 20 MUSD de fonds IDA Régional et 1.2 milliards de FCFA du BCI.

Réalisations attendues :

Infrastructures et équipements
Construction de 15 forages et réhabilitation de 5 autres
Construction de 30 parcs à vaccination
Construction de 300 km de pistes rurales
Ouverture de 800 km de pare-feu et entretien de 900 autres km
Cartographie et matérialisation (bornage) de 300 km de couloirs de transhumance
Acquisition de 10 motofaucheuses
Acquisition de lyophilisateur pour la production de vaccin de l’ISRA
Construction et réhabilitation de services de l’élevage
Construction de 3 cabinets vétérinaires privés
Construction de 8 magasins de 100 tonnes au niveau des départements
Construction de 20 magasins/boutiques pastorales de 50 tonnes
Construction de 4 unités de transformation laitière et 7 unités de collecte
Construction de 5 nouveaux marchés à bétail et réhabilitation de 3 existants
Construction de 4 aires d’abattage
Renforcement des capacités

Formation continue du personnel des services de l’élevage
Formation continue de 13 cadres des services de l’élevage
Formation de 6 masters (cadres du service de l’élevage)
Formation continue de 40 agents des services de l’élevage
Sélection de 50 auxiliaires en élevage et 90 relais en gestion des ressources naturelles (GRN)
Formation de 90 relais en GRN
Formation de 50 auxiliaires en élevage
Appui à l’installation de vétérinaires privés
Appui à la campagne de vaccination et à la surveillance épidémiologique
Capitalisation et réplication de modèles de lutte contre le vol de bétail
Appui aux organisations professionnels d’élevage et interprofessions viande et lait
Appui à la gestion des infrastructures et aménagements
Appui à la commercialisation des produits animaux
Appui au SIGEL et SAP/SECNSA pour l’analyse de vulnérabilité pastorale
Élaboration de manuel pour le mécanisme de réponse immédiate (MRI) aux crises pastorales
Aménagements
Mise en place de 20 plans de gestion des unités pastorales (UP)
Mise en place de plans de gestion de réserves naturelles communautaires
Mise en œuvre des plans de gestion
Appui aux réunions de concertation et de planification inter communautaires
Appui aux réunions de concertation et de planification transfrontalières




PRAPS Mauritanie : Note de Présentation du PRAPS-Mauritanie

PRAPS Mauritanie : Note de Présentation diu PRAPS-Mauritanie  (Mars, 2016)

Objectif du projet :  Émanant de la déclaration de Nouakchott du 29 octobre 2013 sur la pastoralisme aopté les chefs d’état des 6 pays sahéliens (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad), le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel est financé par la Banque mondiale et coordonné au niveau régional par le CILSS.

L’objectif du projet est d’améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs et agro-pasteurs dans des zones transfrontalières et le long des axes de transhumance des 6 pays Sahéliens et améliorer la capacité des gouvernements de ces pays à répondre à temps et de manière efficace en cas de crise pastorale ou d’urgence éligibles.

Composantes du projet
(a) Améliorer la santé animale : (i) Modernisation des infrastructures et renforcement des capacités des services vétérinaires (ii) Appui à la surveillance et au contrôle harmonisé des maladies prioritaires et des médicaments vétérinaires,

(b) Améliorer la gestion des ressources naturelles (i) Sécurisation de l’accès aux ressources naturelles et gestion durable des pâturages (ii) Gestion durable des infrastructures d’accès à l’eau,

(c) faciliter l’accès aux marchés (i) Développement des infrastructures et du système d’information (ii) Renforcement des organisations pastorales et interprofessionnelles

(d) Améliorer la gestion des crises pastorales (i) Gestion des crises pastorales et diversification (ii)Intervention en situation de crise pastorale et

(f) la Gestion du Projet et Appui Institutionnel (i) Coordination, gestion fiduciaire, suivi évaluation, création de données, gestion des connaissances (ii)

Appui institutionnel et renforcement de capacités, plaidoyer et communication.

Zone d’intervention du projet
Le Projet interviendra selon les principaux axes de transhumance dans 6 zones écopatorales ( zones transfrontalières) au niveau de 10 wilayas (Trarza, Brakna, Gorgol, Guidiamgha, Assaba, Hodh Elgharbi, Hodh Echargui, Tagant, Adrar, Inchiri), 36 moughataa ,179 communes.

Bénéficiaires du projet : Les bénéficiaires du projet sont estimés à 400 000 environ composés de :

Pasteurs , agropasteurs et leurs organisations
Interprofession
Vétérinaires privés et auxiliaires de santé animale; services vétérinaires publics, services du Ministère de l’Elevage;
Collectivités territoriales et locales.

Durée du projet :  La durée de vie du projet est 6 ans (2016-2021).

Date clefs du projet :

  • Date approbation : 26 mai 2015
  • Date de signature de la convention : 19 juin 2015
  • Date mise en vigueur : 16 septembre 2015
  • Date de clôture : 31 décembre 2021
  • Date atelier de lancement du projet : 22 décembre 2015

Modalités de mise en oeuvre des activités du projet : l’Unité de Coordination du projet travaillera avec (i) les Ministères concernés (Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, Ministère de l’Emploi, de la Formation Professionnelle, des Technologies de l’Information et de la Communication, Commissariat à la Sécurité Alimentaire à travers des conventions de partenariats et (ii) des opérateurs privés et ONG à travers des contrats de prestations de service.
L’exécution des activités nécessitera l’appui des directions techniques du Ministère de l’Elevage et d’autres départements.
Les infrastructures réalisées dans le cadre des composantes 1, 2, 3 et 4 feront l’objet de marchés publics.
Un pool d’assistance technique ponctuelle est prévu sous forme d’hommes-mois, pour apporter un appui ponctuel au Ministère de l’Elevage dans la mise en œuvre des activités du projet selon les besoins ou pour conduire des études spécifiques ponctuelles.




Note sur le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS)

Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) est parti de la Déclaration de Nouakchott sur le Pastoralisme adoptée le 29 octobre 2013, avec pour objectif global de «sécuriser les modes d’existence et les moyens de production des populations pastorales et accroître le produit brut des activités d’élevage d’au moins 30 pourcent dans les six pays du Sahel au cours des cinq prochaines années, en vue d’augmenter significativement les revenus des pasteurs sous un horizon de 5 à 10 ans».

Le PRAPS est un appui que la Banque Mondiale accorde à six pays sahélo-sahariens (Burkina Faso, Mali, Niger, Mauritanie, Sénégal et Tchad) en vue d’améliorer la résilience des moyens de subsistance des sociétés pastorales dans leurs zones frontalières exposées à la sécheresse. Son objectif de développement est «Améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs et agropasteurs dans des zones transfrontalières sélectionnées et le long des axes de transhumance dans les six pays Sahéliens, et améliorer la capacité de ces pays à répondre à temps et de façon efficace en cas de crises pastorales ou d’urgences». Sa stratégie est orientée vers la mise en place d’une alliance solide pour soutenir le pastoralisme en rassemblant l’expertise et les ressources de l’ensemble des acteurs, conformément aux priorités du pays et en intégrant la dimension des dynamiques régionales d’actions futures. Le projet est développé sous la coordination opérationnelle du Secrétariat Exécutif du Comité permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS), en étroite collaboration avec les six pays bénéficiaires.

Le projet sera exécuté à travers les composantes suivantes :
(i) Renforcer les services de production pour la santé animale ;
(ii) Améliorer la gestion des ressources naturelles ;
(iii) Faciliter l’accès aux marchés ;
(iv) Améliorer la gestion des crises pastorales ;
(v) Gestion/administration du projet et communication

Des programmes nationaux et transfrontaliers seront ainsi formulés et mis en œuvre afin de sécuriser les activités pastorales, d’accroître le poids économique de l’élevage et d’augmenter durablement les revenus des communautés pastorales et agro-pastorales. Les types d’activités et de travaux qui seront réalisés par le PRAPS ont été convenus pendant la phase de préparation, sans pour ceci déterminer les activités spécifiques à chaque pays, ni les sites devant les accueillir.