Ingall dispose désormais de son marché à bétail avec l’appui du PRAPS-Niger

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Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) Niger est progressivement en train de parachever la construction des toutes infrastructures prévues dans son cadre de résultats.

En  effet, le  13 septembre 2019,  en marge de la fête annuelle des éleveurs du Niger ou Cure Salée, le Ministre d’Etat, Ministre de l’Agriculture et de l’Elevage,  M Albade Abouaba et la Représentante Résidente de la Banque Mondiale au Niger, Mme Joelle DEHASSE  ont visité le marché à bétail de la commune d’Ingal construit par le PRAPS Niger.

Ce marché, flambant neuf est  une infrastructure de collecte, construite sur  une superficie de trois hectares et disposant d’une clôture, d’un bloc administratif, de deux hangars, un parc  couloir de vaccination, des trois enclos, d’un abreuvoir en béton armé, d’un forage de 5m3 avec installation solaire, de deux blocs latrine hommes et femmes et de deux  dispositifs  de collecte des déchets solides et organiques.

le PRAPS Niger a activement prios part à la Cure Salée

 Le nouveau marché à bétail d’Ingall se situe dans une zone réputée pour la richesse de son pâturage en éléments minéraux et ou chaque année les éleveurs du Niger se retrouvent pour célébrer la fête annuelle des éleveurs ou la Cure Salée.

Prenant part à la fête annuelle des éleveurs  du Niger  et de la visite du site du marché à bétail d’Ingall, la Représentante Résidente de la Banque Mondiale au Niger,  Mme Joelle DEHASSE, a exprimé toute sa joie de voir  cette infrastructure construite  par le PRAPS  au profit des populations pastorales de la Commune Rurale  d’Ingall. Elle a aussi souligné avec bonheur que la réalisation de cette infrastructure est une manifestation de l’excellence des relations qui existent entre son institution et le Niger. Elle a noté  avec satisfaction que toutes les exigences de la Banque mondiale ont été respectées notamment l’ observation des mesures des sauvegardes environnementale et sociale

le marché à betail d'Ingall

Il faut noter qu’en 2019,  29 marchés sont en construction par le PRAPS Niger et tous sont un niveau assez avancé.




ATELIER DE FORMATION SUR LA METHODOLOGIE D’ELABORATION DES PLANS NATIONAUX DE FORMATION DES SERVICES PUBLICS VÉTÉRINAIRES

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 L’atelier de formation sur  » la méthodologie d’élaboration des plans nationaux de formation des services publics vétérinaires »  s’est ouvert le 16 septembre 2019 à Dakar (Sénégal). La cérémonie d’ouverture a été présidée, au nom du Ministre de l’Elevage et des Productions animales, par le Dr Ibrahima Niang, Coordonnateur du PRAPS Sénégal. Cette session de formation est organisée sur l’initiative de la Coordination régionale de la Composante santé animale (CRCSA) du Projet d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS), à l’Organisation mondiale de la Santé animale (OIE) par le CILSS.

A l’origine de cette activité, une recommandation : la réunion de concertation organisée à Dakar du 03 au 06 mai 2017 avait clairement manifesté le besoin d’appuyer les pays pour élaborer leurs plans de formation (PdF) en santé animale en vue de renforcer les services publics vétérinaires avec des cadres compétents et en quantité suffisante (vétérinaires, ingénieurs des travaux d’élevage, agents techniques, vétérinaires spécialisés, etc.)

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 L’objectif général de cette session de formation est d’outiller et de renforcer les capacités des agents concernés par la gestion et la planification de l’utilisation des ressources humaines des services publics vétérinaires sur la méthodologie d’élaboration des plans nationaux de formation.

Les résultats attendus sont les suivants :

–  l’état des lieux des ressources humaines affectées aux services publics vétérinaires nationaux et les politiques et stratégies de développement des ressources humaines sont présentés par chacun des pays ;

  • les procédures techniques permettant l’élaboration d’un plan national de formation des services publics vétérinaires y compris l’élaboration de référentiels emplois et compétences sont maitrisées ;
  • la démarche organisationnelle et rédactionnelle des plans de formation des services publics vétérinaires est conçue de manière participative et maîtrisée par tous les participants ;
  • un canevas harmonisé de rédaction du plan national de formation des services publics vétérinaires est validé par tous les participants ;
  • les procédures techniques relatives à la budgétisation et au financement du plan national de formation des services publics vétérinaires sont maîtrisées par tous les participants ;
  • les outils de suivi-évaluation du plan national de formation des services publics vétérinaires sont maitrisés par tous les participants ;
  • une feuille de route de mise en œuvre et de suivi du plan de formation est élaborée par les participants de chaque pays
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 La formation est assurée par un binôme de FVI (France Vétérinaire Internationale) avec les Dr Jérôme Thonnat et Pascal Hendrikx, tous deux membres de l’équipe mixte SupAgro-CIRAD de Montpellier. Pour le Dr Jérôme Thonnat, « à l’issue de la formation, les participants devraient être capables de construire une analyse de situation en intégrant une approche GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) ; analyser des besoins de formation ; construire un Plan de formation (PdF) et choisir des stratégies ; mettre en place un dispositif de pilotage du PdF et évaluer des activités mises en œuvre dans le cadre d’un plan de formation.»

En ouvrant, la séance inaugurale de l’atelier, le Dr Ibrahima Niang s’est félicité de l’initiative de la Coordination régionale de la Composante santé animale qui vise à donner aux six pays du PRAPS les compétences requises « pour faire face aux multiples défis qui assaillent le mieux-être de nos différents cheptels ». Cette formation ambitionne, selon lui, « d’outiller et de renforcer les capacités des participants par la gestion et la planification de l’utilisation des ressources humaines des services publics vétérinaires. » Ce faisant, le CRCSA s’attaque, de manière frontale, aux principaux obstacles qui inhibent la prospérité des communautés pastorales, a encore soutenu le Coordonnateur du PRAPS Sénégal.

 Parmi les résultats attendus, le Dr Niang a salué « la maîtrise éventuelle des procédures techniques permettant l’élaboration des référentiels emplois et compétences, mais aussi l’harmonisation rédactionnelle des plans de formation des services publics vétérinaires. Pour terminer, le Dr Niang a adressé ses vifs remerciements et sa reconnaissance à la Banque mondiale, à l’Organisation mondiale de la santé animale, au CIRAD, à l’EISMV, au CILSS et à tous les autres partenaires, de  « l’appui constant qu’ils ne cessent d’apporter à nos pays respectifs pour un PRAPS auréolé de succès à l’horizon 2021.»

Auparavant, souhaitant la bienvenue à la vingtaine de participants, au nom du Dr Idriss Oumar Alfaroukh, le Dr Hassane Hadakal, Assistant technique régional chargé de la formation du PRAPS/OIE, avait campé les termes de référence de cet atelier. Selon lui,  « cette formation devait se tenir il y deux ans, mais il fallait d’abord mettre en place un dispositif préalable. Il s’agissait d’abord de faire une première situation de l’état des lieux des SV des six pays du PRAPS. Cette exigence a démarré en complément du disponible, à savoir les rapports PVS pour les pays qui en disposent, en essayant de combler le gap pour les autres. C’est dans ce cadre, a affirmé le Dr Hadakal, « que nous avons eu l’honneur et la chance de parcourir les six pays du PRAPS pour effectuer, avec les SV, un travail qui a consisté à mettre en place une base de données en format Excel. Cette base de données représente un minimum d’informations disponibles sur l’état des personnels des SV des pays concernés en complément de l’existant.»

Le Dr Hadakal a ensuite exprimé son souhait de voir cette formation déboucher sur l’acquisition de compétences durables à transmettre aux générations actuelles et futures, moyennant des ajustements et améliorations périodiques.

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 L’Ecole inter-états des sciences et médecine vétérinaires (EISMV), partenaire stratégique du PRAPS, fortement impliquée dans la formation initiale et continue des pays sahéliens était représentée par son Directeur Général, Yalacé Yamba Kaboret. Ce dernier a renouvelé la disponibilité de sa structure à accompagner les décideurs africains et les techniciens à rendre toujours plus performants les services vétérinaires  afin d’asseoir un élevage productif et compétitif. Outre la formation, l’EISMV contribue à sécuriser la santé animale en veillant sur la sécurité des médicaments et des vaccins en tant que laboratoire de référence de l’UEMOA.

Pour sa part, le Dr Caroline Planté, TTL du PRAPS régional et Co-TTL du PRAPS Sénégal, a d’emblée admis que la pertinence de cet atelier est de s’attaquer aux faiblesses de l’élevage des pays sahéliens, parmi lesquelles la formation continue et initiale des personnels des services vétérinaires. A son avis, les ressources humaines sont au cœur de la santé et du bien-être des animaux. Mme Planté milite pour une utilisation optimale des disponibilités pour aboutir à des résultats probants. Elle prêche donc pour l’inscription des programmes de formation dans la durée pour éviter les effets « feu de paille ».




Christian BERGER passe le témoin à Caroline PLANTE pour la coordination du PRAPS au sein de la Banque mondiale

Après avoir participé à la formulation du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) en contribution à l’ensemble des Task Force,  lancé le projet en 2015 avec 6 pays que sont le Burkina Faso, la Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et  le Tchad et  les avoir accompagné pour la mise en oeuvre quatre (4) années durant e bouclé la revue à mi-parcours du Projet au printemps dernier (avril 2019), le Chargé de projet à la Banque mondiale communément appelé TTL, Christian BERGER est appelé à de nouvelles fonctions  au Bureau de la Banque mondiale à Dhaka au Bangladesh.Une cérémonie d’au-revoir de M. BERGER et de présentation de la nouvelle Chargée du PRAPS à la Banque mondiale, Mme Caroline PLANTE s’est déroulée dans les locaux du Secrétariat permanent  du Comité inter-États de lutte contre la sécheresse dans  Sahel (CILSS) à Ouagadougou au Burkina Faso. ladite cérémonie présidée par le Secrétaire exécutif adjointe du CILSS, Ibrahim Lumumba IDI-ISSA, a réuni l’Unité Régionale de Coordination du PRAPS-CILSS et l’équipe de management du Secrétariat Exécutif.

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Tour à tour les Experts et la Coordonnatrice régionale du PRAPS  ont pris la parole pour une présentation succincte  de l’état d’avancement des activités à  eux confiées, des difficultés rencontrées et des perspectives pour la suite du projet qui prend fin en décembre 2021.

Quelques projets et programmes mis en oeuvre au CILSS et développant des synergies avec le PRAPS ont été présentés à  l’équipe de la Banque mondiale. Il s’agit notamment du Programme de renforcement de la résilience à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle au Sahel (P2RS) financé par le  Groupe de la BAD, du  Projet élevages et pastoralisme intégrés et sécurisés en Afrique de l’Ouest (PEPISAO) et du Projet régional de dialogue et d’investissement pour le pastoralisme et la transhumance (PREDI). Ces exemples de collaboration ont été appréciés à leur juste valeur et méritent d’être poursuis conformément aux résultats attendus.

Christian Berger s’est dit heureux d’avoir accompagné le PRAPS et de s’être rendu à cette étape. Plusieurs réalisations sont à l’actif de l’ensemble des équipes  et la mise en oeuvre du  projet a permis à la Banque mondiale, du CILSS et aux  six (6)  pays du Projet de tirer les enseignements pour la suite du projet et éventuellement pour une deuxième phase. Il mentionnera:  » C’est pour moi difficile de quitter le PRAPS et l’Afrique mais il faut savoir aller sur de nouveaux chantiers pour le combat du développement. Je resterai disponible pour accompagner la nouvelle Chargée du Projet, Caroline PLANTE qui n’est pas une novice du  PRAPS car ayant  participé à la Task Force 1 en vue de la préparation du projet. Je remercie le CILSS, les Pays du  PRAPS et l’ensemble des partenaires pour la solidarité et l’esprit qui ont prévalus tout au long de notre collaboration qui j’en suis certain se poursuivra. »

Quant à Caroline PLANTE, elle se réjouit de toute la bonne collaboration entre l’équipe du  CILSS et de la Banque mondiale et s’engage à donner le meilleur d’elle-même pour l’atteinte des objectifs du projet et la préparation de la 2ème phase du projet aux côtés des équipes qui connaissent déjà bien les challenges qui se présentent au niveau régional et dans les pays.

La nouvelle Chargée du  PRAPS à la Banque mondiale en plus du PRAPS-CILSS aura sous sa tutelle le PRAPS-Sénégal.

Avant de se consacrer au PRAPS, Elle au  préalable servi  dans d’autres bureaux de la Banque mondiale en  Haïti et en Amérique Latine. Elle a également travaillé au  Mali  pour les questions liées à l’élevage , elle offert ses services à  l’OIE  et en France au sein des Services vétérinaires nationaux, où elle a travaillé sur la prévention et le contrôle des maladies, la certification des importations et des exportations, le bien-être des animaux, la sécurité alimentaire et les questions environnementales.

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Travaux pratiques Appréciation de l’embonpoint des Ovins et Caprins à travers la Note d’état corporel (NEC)

Après la visite de terrain du mercredi juillet 2019 au marché de bétail de consommation connexe à l’Abattoir frigorifique de Ouagadougou, les participants à l’Atelier régional de formation des Formateurs  sur  » l’Appréciation de l’embonpoint des animaux se son t rendus dans la matinée du jeudi 25 juillet au marché à bétail de Tanghin, à Ouagadougou pour des exercices de notation d’Ovins et de Caprins conformément aux indicateurs et à la méthodologie identifiés.




22-26 juillet 2019: Atelier Régional de formation des formateurs sur » L’ appréciation de l’embonpoint des animaux (Bovins, Ovins, Caprins, Camelins, Asins) à travers la note d’état corporel (NEC) »

Du 22 au 26 juillet 2019, l’Unité régionale de coordination (URC) PRAPS-CILSS organise un Atelier Régional de formation des formateurs sur  » L’appréciation de l’embonpoint des animaux (Bovins, Ovins, Caprins, Camelins, Asins) à travers la note d’état corporel (NEC).

Ledit atelier qui se tient à Ouagadougou vise à accompagner les Pays du PRAPS à s’approprier les Guides harmonisés sur l’appréciation des réserves corporelles desdits animaux ci-dessus mentionnés à travers la NEC. Le guides élaborés suite une étude conduite par Eric Vall, Chercheur au CIRAD, dans les pays du PRAPS seront présentés aux  Responsables de la Composante 4 du PRAPS  » Gestion des crises pastorales », aux membres du Système d’alerte précoce (SAP) et aux membres du Système d’information sur les marchés (SIM-B). Des séances plénières,  des travaux de groupes et  ses visites de terrain ( abattoir et marché à bétail) sont au programme pour une meilleure appropriation de la méthodologie.

La cérémonie d’ouverture a été présidée par Dr Maty BA-DIAO qui avait à ses côtés Mme Marie Edith VOUKOUMA, Coordonnatrice nationale du PRAPS-BF et M. Sylvestre RAMDE, Responsable de la Composante 4 du PRAPS au CILSS . Dans son intervention, elle a rappelé les sécheresses des années 70-80 qui ont conduit les gouvernements et leur partenaires a mettre en place des SAP pour se prémunir de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle.

Avec le temps, la mise en œuvre du PRAPS a fait ressortir l’absence d’indicateurs liés au Pastoralisme d’où les études conduites par le projet pour l’intégration de 12 indicateurs Pastoralisme dans les SAP des pays dont l’embonpoint des animaux à travers la note d’état corporel pour mesurer la performance animale.

Au Sahel élevage extensif, pastoral et agro-pastoral, largement dépendant des conditions environnementales. Ainsi pour entretenir les animaux dans un bon état au fil de l’année, les éleveurs exploitent les ressources pastorales du milieu ; ressources variables dans les temps et dans l’espace et doivent, par conséquent gérer les réserves corporelles des animaux.

Les réserves corporelles des animaux sont variables selon l’espèce, la race, l’âge, le sexe, le stade physiologique, et le niveau alimentaire joue un rôle économique considérable. Elles déterminent la valeur commerciale de l’animal et la qualité bouchère des carcasses. Elles  jouent  par ailleurs un rôle crucial dans la reproduction (monte, fin de gestation, début de lactation) et elles permettent à l’animal de survivre en période de disette.

Ce sont les réserves corporelles qui peuvent suppléer aux apports insuffisants de la ration quand :

  • Les ressources alimentaires sont insuffisantes en quantité et en qualité (parcours de fin de saison sèche)
  • Quand les besoins des femelles ne peuvent pas être satisfaits par les aliments (cas des femelles à forte production laitière en début de lactation ; besoin d’entretien pouvant être triplés)

Au regard, de l’importance de la note d’état corporel, les réserves corporelles des animaux doivent être gérées de façon dynamique pour passer les mauvaises périodes, pour préparer les animaux aux périodes difficiles,..

La NEC se calcule selon les:

–  méthodes de terrain qui reposent sur la:

  • Pesée : bascule ou pèse bétail
  • Barymétrie : ruban et équation barymétrique
  • Palpation : lombaire, sternale, caudale, Score oculaire : gras dans l’angle interne formé par les deux paupières de l’œil
  • Notation de l’état corporel…                                                                                                                             –  méthodes de  laboratoire  axées sur les 
  • méthodes directes ( Abattage et dissection totale,  rayons X et résonance magnétique nucléaire)
  • Méthodes indirectes (Bilan alimentaires : bilans d’énergie entre besoins et apports, paramètres métaboliques, Biopsie du tissus adipeux ,…)

L’atelier de Ouagadougou contribuera à améliorer les dispositifs de collecte et de traitement des informations liées à la NEC.




LE PRAPS TCHAD REDONNE DE L’ESPOIR A DES PASTEURS AVEC DES PARCS DE VACCINATION

Le parc de vaccination d’Irrigué, situé à 7 kilomètres à l’Est de la ville de Mangalmé, au Tchad, est achevé. Il est  construit sur une longueur 20 mètres et une largeur de 20 mètres avec un couloir de vaccination de 11,76 mètres.

Les bénéficiaires soutiennent que ce nouveau parc fera la fin de leurs souffrances qui consistaient  chaque année  en une reconstruction qui exigeait des branches d’arbres, avec toutes les tracasseries des agents des eaux et forêts.

« Nous souffrons trop dans cette province à cause de manque des parcs de vaccination. Plusieurs éleveurs quittent la zone à cause de ces difficultés » confie un habitant, du village d’Irrigué.




QUELQUES RÉALISATIONS DU PRAPS- MALI DANS LA REGION DE SIKASSO

Dans la région de Sikasso, le PRAPS-Mali intervient dans trois cercles (Sikasso, Koutiala, Yorosso) et 21 communes dont 4 communes dans le cercle de Sikasso, 9 communes dans le cercle de Koutiala et 8 communes dans le cercle de Yorosso. Les réalisations prévues dans ces localités sont : les magasins de stockage d’aliments bétail, les marchés à bétail, les aires d’abattage, les étals de boucherie, les parcs de vaccination, les pistes de transhumances et les gîtes d’étape, les activités génératrices de revenus, l’appui aux groupements des femmes productrices et transformatrices de lait en renforcement de capacités et équipement et matériels de collecte, de transformation, de conservation et de transport de lait, la mise en place des centres de service pour faciliter la commercialisation du bétail, l’appui au transport et à la transformation de la viande. Une équipe du Ministère de l’Elevage et de la Pêche s’est rendue dans la région de Sikasso du 24 au 26 mai 2019 dans le cadre d’une mission de supervision des chantiers en cours.




Avis à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour le recrutement de consultants pour une session régionale de formation sur la méthodologie d’élaboration des plans nationaux de formation des services publics vétérinaires dans le cadre de la Composante santé animale du Projet d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS)

L’objectif général de cette session de formation régionale est d’outiller et de renforcer les capacités des agents concernés par la gestion et la planification de l’utilisation des ressources humaines des services publics vétérinaires sur la méthodologie d’élaboration des plans nationaux de formation des services publics vétérinaires. Pour plus d’information veuillez consulter le lien ci-dessous




Recrutement d’un Opérateur chargé de l’organisation scientifique et technique de la quatrième édition des Entretiens Techniques du PRAPS (ETP4)

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L’objectif principal des ETP-4 est de susciter un cadre inclusif de réflexions pour formuler à 1’attention des Etats et des communautés économiques régionales (CER), des propositions de mesures juridiques et institutionnelles pour améliorer le processus d’ intégration régionale en matière de libre échange et adopter ou renforcer les mécanismes opérationnels capabl es de réduire, voire éradiquer, les entraves au commerce qui sévissent dans la sous-région.
Le mandat que le PRAPS compte confier à la firme avant la tenue de la conférence, pendant les ETP et après les ETP est détaillé dans les TDR que vous pouvez trouver sur les liens suivants :

Appel à Manifestation d’Intérêt- recrutement opérateur-ETP4

TDR_-_Recrutement_Opérateur_pour_organisation_des_ETP4_VF




Recrutement d’un bureau d’études/cabinet/firme pour l’animation d’une session de formation sur le suivi des feux de brousse par télédétection et l’évaluation du bilan fourrager actualisé

L’objectif de la formation est de doter les cadres de la structure nationale pourvoyeuse des données sur les feux de brousse au Système d’alerte précoce (SAP), de compétences pour le suivi des feux de brousse par télédétection.

AMI n°6 PRAPS-CILSS_Recrutement bureau d’études_Formation suivi feux de brousse

TDR_formation_sur_le_suivi_des_feux_de_brousse_par_teledetection – VF