8-17 avril 2019: ATELIER DE REVUE A MI-PARCOURS DU PRAPS, SALY PORTUDAL- SENEGAL

Lancé en 2015, le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) organise  du 8-17 avril 2019, à Saly Portudal,  au Sénégal son Atelier de  revue a mi parcours (RMP), avec l’ensemble de ses partenaires de mise en œuvre.

Les 6 pays (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal et Tchad) du Projet, le CILSS, la Banque mondiale, partenaire financier, la CEDEAO, l’UEMOA et les Organisations professionnelles d’éleveurs : APESS, RBM, COFENABVI, ROPPA évalueront au cours de l’Atelier de RMP le projet après 3 années d’exécution. Après avoir dressé le bilan, les équipes examineront les perspectives du projet jusqu’à sa clôture.

De manière spécifique, les progrès, difficultés rencontrées et les leçons tirées seront analysés.
Par ailleurs, le Cadre de résultats (CdR) du projet sera passé en revue de même que la restructuration du projet.
Au programme, également, l’analyse des résultats par composante, le calcul des bénéficiaires,la prise en compte des sauvegardes environnementales et sociales, la gestion des griefs et l’engagement citoyen, la prise en compte du genre.

De la présentation du Jour 1, les premiers enseignements tirés en matière de points forts du Projet sont notamment:

  • le positionnement du pastoralisme dans le cadre politique agricole; 
  • les effets d’entrainement de nouveaux partenaires pour la valorisation du pastoralisme ( La BID, le MCC,…) 
  • le développement d’un réseau d’expertise au niveau national et régional 
  • l’accompagnement et l’implication des associations d’éleveurs 
  • les bases pour des projets de plus grande ampleur 
  • …. 

La journée du mardi 9 avril 2019 de l’Atelier de Revue à mi-parcours (RMP) du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) est  consacré aux résultats par pays suite aux missions du Consultant externe et aux résultats exclusifs de la Composante 1  » Amélioration de la santé animale  » dans les 6 pays et au niveau régional.

Cette composante est animée par l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) à travers le Centre régional de santé animale (CRSA) de Bamako.